Association des Médecins de Cannes

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Cervicarthrose

Soumis par Dr FERRIER Renaud
un point sur l'etat des connaissances a ce sujet
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Entorse du genou

Soumis par Dr FERRIER Renaud
L’amélioration des connaissances physiologiques et physiopathologiques a été depuis 10 ans, à l’origine d’une évolution considérable et très rapide des techniques de réparation chirurgicale des lésions ligamentaires du genou.
Les progrès les plus sensibles concernent essentiellement la réparation du pivot central et tout particulièrement la réparation des lésions chroniques. En effet, d’une part les sutures en urgence des ligaments croisés ont vu leur fiabilité largement battue en brèche et d’autre part, la réparation des lésions périphériques est restée beaucoup plus " traditionnelle ".
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Epaule dénérérative et arthroscopie

Soumis par Dr FERRIER Renaud
Le traitement arthroscopique du conflit sous acromial est devenu une technique acceptable, mais possède ses limites. Sur 100 cas cliniques opérés depuis 1987 avec un recul de un an, on peut dégager les avantages et les faiblesses de cette chirurgie peu invasive. Si les critères cliniques d'indication opératoire restent les mêmes pour les coiffes étanches, lorsqu'une perforation existe, le choix entre une réparation chirurgicale et une décompression arthroscopique doit tenir compte de plusieurs facteurs : l'âge, l'activité du patient, ses désirs, la taille de la rupture et surtout l'existence ou non d'une ascension de la tête humérale.
Les signes cliniques sont analysés et synthétisés par les scores fonctionnels de l'épaule (CONSTANT). L'évaluation de la force est un critère majeur. Globalement, le résultat sur la douleur, la mobilité et la fonction est comparable au traitement à ciel ouvert, sans léser le deltoïde.
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imagerie du rachis en 2010

Soumis par Dr FERRIER Renaud
arbre decisionnel dans les explorations radio scann irm du rachis en 2010
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Prise en charge de l’infarctus myocardique

Soumis par Dr FERRIER Renaud
L’infarctus du myocarde demeure une affection préoccupante par sa fréquence et ses conséquences : environ 20% des patients font une mort subite avant toute prise en charge thérapeutique et parmi les 60 000 Français hospitalisés par an dans une Unité de Soins Intensifs Coronariens (USIC) pour un infarctus évolutif, 8% décèdent pendant leur séjour hospitalier et 12% supplémentaires dans l’année qui suit (registre USIK 1995 (1). Le traitement de cette affection a cependant beaucoup progressé dans les vingt dernières années, permettant d’en atténuer la mortalité et les séquelles fonctionnelles. Plusieurs facteurs y ont concouru : reconnaissance et prise en charge thérapeutique plus précoce grâce à une sensibilisation de la population et des médecins, amélioration des moyens de transport médicalisés, meilleur dépistage et traitement des complications comme l’insuffisance cardiaque ou l’ischémie résiduelle, utilisation de médicaments ayant fait la preuve de leur effet bénéfique : aspirine, béta-bloquants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion…
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